La pratique de Noémie Goudal, née en 1984, repose sur la construction d’installations mises en scène dans le paysage et transposées en films, photographies et performances. Palmeraies, rochers, montagnes sont photographiés puis décomposés et recomposés dans une démarche qui pourrait s’apparenter à de la retouche numérique là où en fait tout n’est que décor illusionniste.

Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles (Rencontres de la Photographie d’Arles ; Centre d’art le Grand Café, Saint-Nazaire ; Musée des Beaux Art du Locle ; Le BAL, Paris ; FOAM, Amsterdam) mais aussi collectives comme à la Biennale de Venise (Pavillon de l’Azerbadjan).